Les habitants aboient et les élus jouent au chat et à la souris
Il y a quelques années, seule la période estivale amenait son lot de désolation lors de la venue des gens du voyage sur notre commune, abimant nos espaces verts. Aujourd’hui, cette transhumance est discontinue voire sanctuarisée au gré des évènements rassemblant cette population. A croire que la ville est identifiée comme zone de camping sauvage.
Cette situation est devenue intolérable pour les habitants qui cohabitent avec une population non désirée. Bien sûr, chacun a le droit de vivre selon ses coutumes mais pas au détriment de la quiétude de la population. Même les terrains privés sont visés et il faut dire que les maîtres des lieux en ont assez des délais judiciaires et de l’abandon des élus de Nantes métropole qui sont dépassés par la situation.
Face à cette passivité grandissante, nous alertons une fois de plus et nous demandons une cartographie des zones à risque de la commune afin qu’il soit étudié un système anti effraction en vue d’une protection des espaces publics. Il en va de la quiétude des habitants de cette ville qui déjà se lamentent de voir leur environnement se dégrader.
Muryel Douaud et Hervé Leroux
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